Participation de l'OOAS au Panel sur le Financement Régional de la Sécurité Sanitaire : Le Programme Régional de Renforcement des Systèmes de Surveillance des Maladies (REDISSE)

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Participation de l'OOAS au Panel sur le Financement Régional de la Sécurité Sanitaire : Le Programme Régional de Renforcement des Systèmes de
Surveillance des Maladies (REDISSE)

Sydney, le 20 juin 2019 - Le Directeur Général de l'Organisation Ouest Africaine de la Santé (OOAS), le professeur Stanley OKOLO, a animé, le 20 juin 2019, un panel sur le financement régional de la sécurité sanitaire axée sur le Programme Régional de Renforcement des Systèmes de Surveillance des Maladies (REDISSE).

La session faisait partie de la Conférence internationale sur la sécurité sanitaire mondiale qui se déroulait à Sydney, en Australie.

Les panélistes étaient Mme Sara HERSEY de la Banque mondiale, le Dr Carlos BRITO de l'OOAS et Mme Olubunmi OJO du Nigeria Centre for Disease Control (NCDC).

La première présentation a été faite par la Banque mondiale et a mis en évidence les arguments économiques en faveur de l'investissement dans la sécurité sanitaire et la justification de la conception régionale et multisectorielle qui caractérise le programme REDISSE. La deuxième présentation de l'OOAS a développé les aspects régionaux et le programme ‘Une Seule Santé’ et a souligné les succès et les défis dans la promotion de la collaboration entre pays, le partage des ressources et l'action collective en Afrique de l'Ouest, tandis que la présentation finale du NCDC a porté sur les implications pratiques d'un investissement régional et multisectoriel en sécurité sanitaire au niveau national, notamment l'alignement du financement REDISSE avec le Plan national d'action pour la sécurité sanitaire et les approches adoptées pour coordonner l'application dans les secteurs et ministères.

La discussion qui a suivi la présentation a porté sur la nécessité d'une meilleure synergie et d'éviter les doubles emplois entre les pays, le faible niveau de décaissement dû à plusieurs facteurs propres à chaque pays, en plus de la faible maîtrise des procédures fiduciaires de la Banque mondiale, la nécessité de renforcer la coordination des activités, d'accroître le soutien aux pays et de promouvoir le partage des pratiques et les enseignements tirés dans la région.

WAHO in the pannel session

 

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